Venue d'ailleurs : Que la vengeance commence !

Mais qu'est ce que tu fous encore ? Tu as un cobaye en état de marche que je sache !

Ituri : Mais laisse-moi m'amuser un peu, j'adore jouer avec les sentiments des humains et en plus si jamais mon cobaye devait avoir des problèmes, j'en aurai un autre sous la main.

Ah ! Quand même ! Tu avoues enfin que tu aimes torturer les humains et que tu ne fais pas ça seulement pour tes expériences.



Ituri : C'est vrai que j'y prends goût. Mais tant que ça n’interfère pas dans mes expériences, je ne vois pas où est le mal.

Le mal ? C'est ce que tu fais !

Ituri : Question de point de vue. Question de point de vue.

Pourquoi il faut toujours que tu es le dernier mot ?

Ituri : C'est simple, je te suis supérieur intellectuellement. Bon, si tu voulais bien me laisser continuer mon oeuvre.

Wogan : Ituri, j'ai une femme et une fille. Je ne peux pas. J'aimerai vraiment pouvoir être avec toi mais je ne peux pas.

Ituri : Il se prend pour qui ? Il croit tout de même pas qu'il va me résister ?

Ituri : Embrasse-moi !

Wogan : ...

Wogan : Au diable ma famille, c'est toi que j'aime. Tu embrasses si bien.

Tu lui as fait quoi ?

Ituri : Qui ? moi ? Mais rien du tout voyons. C'est mon charme naturel qui produit cet effet.

On va dire ça...

Ituri : Et pour ta femme ? Qu'est ce que tu comptes faire ?

Wogan : C'est fini entre elle et moi. Il n'y a plus que toi qui compte.

Ituri : Oh ! Tu es sûr de ce que tu fais ?

Wogan : Oui. Je t'aime.

Ituri : Moi aussi, mon amour.

William : Comment as-tu pu me tromper juste après notre mariage ? Les rumeurs étaient donc bien fondées.

Ituri : Laisse-moi t'expliquer.

William : Pas la peine de m'expliquer, j'ai tout compris ! Et il n'est pas question de te laisser recommencer ! Et toi Wogan, tu comptes aimer cette femme qui te trompera une fois l'argent du mariage empoché ?

Wogan : Je l'aime.

William : Tu n'as pas entendu les rumeurs sur elle ?

Wogan : Je l'aime.

William : Tu l'as drogué ?!

Ituri : Pas du tout. J'ai beaucoup mieux que ça. Tu en seras bien plus dans quelques heures. Je t’expliquerai tout ça en privé.

William : Attention à toi. Au moindre faux-pas, je te tues. N'oublie pas que je suis un vampire. Et je pourrais te briser le coup en un rien de temps.

Ituri : N'en soit pas si sûr. Il est temps pour moi de rentrer chez moi. Je t'y attendrai.

Morrigan :Bouh ! Mon mari ne m'aime plus. Il préfère cette traînée.

William : Morrigan, reprends toi. Je vais avoir besoin de ton aide. Il faut tout faire pour l’empêcher de nuire. Et j'ai besoin de toi pour récolter toutes les informations et preuve qui permettront de lui faire un procès et de  gagner. Je peux compter sur toi ?

Morrigan : Oui, je ferai tout pour me venger !

William : Si dans deux jours, je ne te donne plus de nouvelles continue sans moi. Elle se sera surement débarrasser de moi de la même façon que mes prédécesseurs. Je compte sur toi.

Qu'est ce que tu es en train de manigancer ?

Ituri : Je suis en train de transformer ce four en bombe incendiaire. Je souhaite tester la résistance des corps humain au feu.

C'est dangereux ton truc ?

Ituri : Je ne risque rien. Ne t’inquiète pas.

C'est pas pour toi que je m’inquiète mais pour ton fils qui dort à l'étage.

Ituri : Lui non plus, il ne risque rien. Et si il mourrait il ne mériterai pas d'être mon fils.

Ituri : Je vois que tu as trouvé ta cage tout seul. Tu es un bon garçon.

William : Une cage ? Tu veux m'enfermer ?

Ituri : Je ne veux pas t'enfermer. Je t'ai enfermé. Tu es coincé ici. Mais dans mon extrême indulgence, je t'ai laissé de quoi te préparer à manger.

William : Bon, puisque je suis coincé ici. Tu peux m'expliquer qu'elle est ton but ?

Ituri :Je veux bien t’accorder un peu de mon temps pour te raconter la vérité sur moi. Je ne suis pas humaine. Je viens d'une autre planète dans le but de faire des expériences sur les humains pour préparer une futur invasion. Malheureusement, les cobayes humaines ne survivent pas à mes expériences. Je suis donc obligé de m'en procurer de nouveau. Tu es le troisième.

William : J'ai du mal à te croire. Mais disons que je te croie. Quand arrêteras-tu tes expériences ?

Ituri : Seulement quand j'aurai réussi à trouver une méthode permettant annihiler tous les humains en une seule et unique fois tout en préservant la planète. Par la suite, mon peuple viendra coloniser cette planète et remplacera les humains. N'est ce pas merveilleux ?

William : Ton peuple est toi êtes complètement cinglés !

Ituri ; Voilà, tu sais tout. Bon si tu voulais bien te compter comme un bon et gentil cobaye afin que je puisse avancer dans mes expériences, permettrai d'éviter que tu ne souffres trop.

William : Et puis quoi encore ?!

Ituri : Tu n'as pas le choix.

William : Elle va me le payer !

Ituri : Tu parles tout seul, mon chou ?

William : Mon dieu faite quelque chose. Je ne vais pas la supporter encore longtemps.

William : Tu veux pas m'ouvrir la porte pour que j'aille au petit coin ? Plutôt que de noter tous ce que je fais ?

Ituri : Je sais très bien ce que tu veux faire. Si je t'ouvre la porte, tu vas essayer de te débarrasser de moi et de t'enfuir.

William : Profitons qu'elle est en train d'écrire pour prévenir Morrigan de ce qu'il se passe ici.

Ituri : Enfin ! Le feu est parti ! Maintenant chère cobaye, aurais tu l'obligeance de te laisser brûler ?

William : Et puis quoi encore ?!

Ituri : Mais qu'est ce qu'il fait ? Il est en train d'éteindre le feu ! Pourquoi ne veut-il pas faire son rôle de cobaye ?

William : La ferme !

Ituri : Comment oses-tu ?

William : Je t'ai dit de la fermer ! Je suis en train d'éteindre un incendie ! Et il n'est pas question que je me laisse mourir pour tes expériences !

Kai : Attends, je vais t'aider ! Il ne faut pas qu'elle réussi encore à tuer quelqu'un !

Ituri : Si les fantômes se retournent contre moi, je ne vais jamais réussir mes expériences ! Pourquoi rien ne va comme je le veux ?

Kai : Je t'avais dit que tu le payerai un jour. Et ceci n'est que le commencement.